Seul le bleu
Seul le bleu de lan mè-a m'obsède, me nuit. Nuit, ton ombre s'enroche au noir des corps qui flottent. Je crache aux vagues à l'âme qui m'exhorte à partir et aux flots qui sombrent aux abymes du passé. J'entends au fond des nuits antan lontan dissoutes L'écho de moi englouti. J'oublie la trace.