Le goût de la forêt
Elle a le goût de cette humidité qui jamais ne sèche.
Elle a le goût de cette absconse infinité qui jamais ne s’achève.
Elle a le goût d’absorber la singularité dans son épaisse obscurité,
De faire oublier ce que l’on a d’unique.
Elle suscite néanmoins une quête de lumière qui finit par révéler ce qu’elle a de plus précieux.
Tika

Yolande, elle, se souvient d'une forêt :
Je me souviens d’un voyage où je me suis perdue dans une immensité verte de tâches et d’animaux sauvages qui me questionnaient, me regardaient et me parlaient.
février 2017